GT RIFSEEP PTP du 19 juin 2025 : Il faisait chaud, alors l’administration a brassé de l’air !
Temps de lecture : 3 minutesCette réunion du 19 juin 2025 devait dresser un bilan des « revalorisations des PTP en 2023 et 2024 permises grâce au RIFSEEP » et tracer le chemin pour 2025. Ça a été l’occasion de dénoncer une nouvelle fois l’instauration du RIFSEEP et des injustices générées dans la rémunération des collègues. La croyance d’une gestion égalitaire promise pour des PTP au sein d’un même groupe s’effondre dès que nous évoquons des chiffres et la DGRH n’est pas capable de dire ce qui le justifie, hormis tout simplement que « oui l’IFSE peut être modulé individuellement ».
Compte Rendu GT « VADEMECUM RH JS » du 19 juin 2025Spoiler alert : Passer la pommade et demander poliment, avec l’Administration, ça marche pas !
Temps de lecture : 2 minutesprécédents !) était une vaste mascarade ?
CSA JS du 28 mai 2025 : 4h de réunion pour du surplace ou des reculs
Temps de lecture : 4 minutesSi notre déclaration liminaire a fait quelque peu réagir l’Administration demandant des explications comme sur notre critique de la gestion de la réforme des diplômes JEPS, le CSA JS a été dans la droite ligne des précédents, à savoir monotone. Il faut dire que malgré les nombreuses critiques émises par les organisations syndicales, les choix finaux laissent perplexes pour réussir à inverser le délitement dans lequel se trouve « Jeunesse et Sports ». Ca ne surprendra plus aucun.e collègue mais c’est toujours mieux de le rappeler : la Ministre était une nouvelle fois absente, tout comme l’ensemble de son cabinet.
Ne rien voir pour ne rien faire : une tactique collective ?
Temps de lecture : 5 minutesDepuis quatre ans, nous dénonçons l’absorption des services Jeunesse et Sports par l’Education Nationale. Nous constatons tous les jours à quel point cela conduit l’ensemble des services à une décrépitude, une perte de repères et des valeurs qui disparaissent. Rosa Luxemburg disait “Ceux qui ne bougent pas, ne sentent pas leurs chaînes”. Il y a une nécessité de dénoncer et de se battre pour nos droits, pour nos métiers et notre secteur.
ABUS DE POUVOIR AU SDJES DE GIRONDE : LA DSDEN REFUSE L’APPLICATION DU RI AUX AGENT.E.S ADMINISTRATIF.VE.S !!
Temps de lecture : 4 minutesLe traitement des collègues administratives au SDJES 33 est symptomatique d’une administration à la dérive, broyant et écrasant les droits des agent.es. Il est urgent que ces maltraitances cessent, en Gironde, et partout en France hexagonale ainsi que dans les territoires d’Outre-Mer.
Depuis 4 ans les services Jeunesse et Sports ont intégré l’Education Nationale, et parmi les flous liés à cette malheureuse absorption, celui de l’application des règlements intérieurs persiste au sein de nos services déconcentrés, et a un enjeu particulier pour les personnels administratif.ve.s des services Jeunesse et Sports.
GT sur le « VADEMECUM RH JS » : attention au carnage et aux trahisons!
Temps de lecture : 3 minutesDepuis plusieurs mois, la DGRH pilote un groupe de travail dont l’objectif est de déboucher sur un document faisant office de petit livre rouge des bonnes pratiques RH pour les personnels Jeunesse et Sports, au sein de l’Education Nationale. C’est parce que nous sentions les basses manœuvres arrivées que nous avons décidé de sortir la semaine dernière le tract intitulé « L’éducation nationale confond l’autorité hiérarchique et l’autorité fonctionnelle ».
L’éducation nationale confond « l’autorité hiérarchique » et l’autorité fonctionnelle »
Temps de lecture : 6 minutesInfernal ! Dans de trop nombreux services et établissements JS (CREPS, Ecoles Nationales…), la hiérarchie met les Personnels Techniques et Pédagogiques (PTP) en grande difficulté : non-respect des textes en vigueur sur les contrats d’objectifs et sur l’article 10, absence de réponse, confusion des rôles entre l’autorité hiérarchique et fonctionnelle, abus de pouvoir, voire des cas de harcèlement !
Dernier tract du SEJS-UNSA : une panique qui en dit long
Temps de lecture : 3 minutesCe lundi 28 avril, nous avons pris connaissance de la dernière communication du SEJS (syndicat de l’encadrement de la Jeunesse et des Sports) intitulée « Alerte : non au scénario d’un retour des SDJES en préfecture ».
Si nous souhaitons évoquer publiquement ce communiqué, c’est qu’il contient en son sein de très nombreux propos problématiques. Lors de sa première lecture, nous nous sommes demandé.es si les membres du SEJS étaient frappé.es du syndrome de Stockholm ou si tout simplement la cupidité pouvait en être la seule explication.
CSA JS, l’art de ne rien changer
Temps de lecture : 5 minutesCe mardi 18 mars, un nouveau CSA Jeunesse et Sports s’est tenu pour évoquer divers sujets comme le bilan des lignes directrices de gestion de 2023, la “simplification et harmonisations” des procédures d’habilitations des diplômes JEPS, la situation des crédits du ministère suite au PLF 2025 ou bien encore la baisse des crédits sur la formation professionnelle des personnels JS.
Disons-le de suite, la ministre Barsacq et son cabinet sont bien évidemment absents, il ne faudrait surtout pas donner trop de valeur au dialogue social et au respect des représentant.es des personnel.les. A l’image de Bayrou et de son pseudo-conclave, le mépris de la démocratie sociale est la règle gouvernementale.
Toutes les organisations syndicales, absolument toutes, ont tiré à boulets rouges sur l’administration et le gouvernement pour dénoncer les managements toxiques et autoritaires, la disparition des flottes de véhicules, l’intense dégradation des conditions de travail, la bureaucratisation de nos missions sous la pression de pseudo-chef.fes de service au nom d’économie budgétaire ou de théories fantaisistes. A notre déclaration liminaire, que nous vous invitons à lire, nous avons appuyé sur les problèmes d’IFSE en BFC mais aussi sur les problématiques des contrats d’objectifs dans ce territoire notamment.
Déclaration liminaire au CSA Ministériel 18 mars 2025
Temps de lecture : 4 minutesNous sommes en l’an 2025 et le silence de l’Etat, y compris en CSA ministériel, est
assourdissant.
C’est le silence d’un premier ministre complice d’un scandale d’Etat d’agressions sexistes et
sexuelles en série commises sur des enfants pendant plusieurs années à Bétharram.
C’est le silence qui permet à toute une ribambelle d’hommes d’état de continuer à exercer,
tout en ayant commis ou été accusés d’actes ou propos racistes et sexistes des plus
exécrables.
C’est le silence de la culture du viol.